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Joséphine + Thomas! à la vie à la mort

23 mai 2005

PARDON

Pardon
Je viens vous demander
Pardon pour tous les hommes
Qui n'ont jamais appris
Le verbe aimer

Qui n'ont jamais compris
La force de l'amour
La beauté de la vie

Pardon
Au nom de tous les hommes
Qui ne savent pas aimer
Oh ! Pardon
Au nom de tous les hommes
Qui n'ont jamais aimé
Oh ! Pardon

Pardon
Je viens vous demander
Pardon pour tous les hommes
Qui ignorent le prix
De l'amitié

Qui n'ont jamais connu
Les larmes d'un enfant
Le sourire d'une femme

Pardon
Au nom de tous les hommes
Qui ne savent pas aimer
Pardon
Au nom de tous les hommes
Qui n'ont jamais aimé
Oh ! Pardon

Donne-moi ton regard
Donne-moi ta lumière
Donne-moi de l'amour
Sans quoi, oui, je désespère

Apprends-moi à aimer
Apprends-moi la tendresse
Détruits mes habitudes
Détruits ma solitude

Oh ! Pardon

Pardon
Je viens vous demander
D'accorder votre grâce
A ceux que la vie
A blessé

Et lorsque le temps passe
Ils se retrouvent nus
Perdus désespérés

Pardon
Au nom de tous les hommes
Qui ne savent pas aimer
Pardon
Au nom de tous les hommes
Qui n'ont jamais aimé
Oh ! Pardon

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22 mai 2005

POUR JOSEPHINE


C'est une poupée qui fait non, non, non, non
Toute la journée elle fait non, non, non, non
Elle est, elle est tell'ment jolie
Que j'en rêve la nuit

C'est une poupée qui fait non, non, non, non
Toute la journée elle fait non, non, non, non
Personne ne lui a jamais appris
Qu'on pouvait dire oui

Sans même écouter elle fait non, non, non, non
Sans me regarder elle fait non, non, non, non
Pourtant je donnerais ma vie
Pour qu'elle dise oui

Mais c'est une poupée qui fait non, non, non, non
Toute la journée elle fait non, non, non, non
Personne ne lui a jamais appris
Qu'on pouvait dire oui

22 mai 2005

POUR LES AMOUREUX

"Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer
Et la terre peut bien s'écrouler
Peu m'importe si tu m'aimes
Je me fous du monde entier
Tant qu'l'amour inond'ra mes matins
Tant que mon corps frémira sous tes mains
Peu m'importe les problèmes
Mon amour puisque tu m'aimes

J'irais jusqu'au bout du monde
Je me ferais teindre en blonde
Si tu me le demandais
J'irais décrocher la lune
J'irais voler la fortune
Si tu me le demandais

Je renierais ma patrie
Je renierais mes amis
Si tu me le demandais
On peut bien rire de moi
Je ferais n'importe quoi
Si tu me le demandais

Si un jour la vie t'arrache à moi
Si tu meurs que tu sois loin de moi
Peu m'importe si tu m'aimes
Car moi je mourrais aussi
Nous aurons pour nous l'éternité
Dans le bleu de toute l'immensité
Dans le ciel plus de problèmes
Mon amour crois-tu qu'on s'aime
Dieu réunit ceux qui s'aiment"

22 mai 2005

thomas

coucher_20de_20soleil_2_ une petite vue de ché moi...

22 mai 2005

MIRAGE

elodie

LA SIRENE DE WEST HOLLYWOOD
ma petite MIrage adoré
je t'adore je te kiffe....

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22 mai 2005

moi en haut a droite assi sur la chaise !!! avec

soiree10_05_2003

moi en haut a droite assi sur la chaise

!!! avec presque tou mé pote sauf ma mirage et mon meuilleur Al

je croi kil été ensemble mé je sé pa se kil faisé
looooooooooooooooooooooooooooooool

22 mai 2005

cMOI THOMAS

ethomas

kel corp parfait!!!!!
dsl se corp de reve est reservé pour josephine

21 mai 2005

LES PLUS BELLE CITATION SUR L'AMOUR...

L'amour, comme un disque du destin qui n'en finit pas de passer...

Dans l'amour il y a 90% de curiosité contre seulement 10% de peur de mourir abandonné comme une vieille merde.

L'amour, c'est la plus belle invention pour tenir les gens debout.

Je crois que la plus grande maladie dont souffre le monde aujourd'hui est le manque d'amour

L'amour est un art, une acrobatie, c'est parfois de l'héroïsme.

L'amour n'est pas plus fort que ses maux et sa joie n'est pas plus belle que sa peine.

L'amour est la grande affaire de notre vie. Ce que l'Éros ouvre à l'être c'est la dissolution de l'ego dans quelque chose qui le dépasse.

Un amour, ça ne ressemble à rien.

Je crois que la relation entre un écrivain et son sujet, c'est un peu comme en amour. Vous voulez passer tout votre temps avec l'objet de votre amour.

Notre amour de la vie est semblable au sentiment des vivants pour les disparus, nous savons qu'elle existe et nous l'aimons sans pouvoir l'étreindre..

L'amour, ça tient du baromètre, ça peut descendre ou remonter.

Rien ne nourrit mieux l'inspiration que l'amour. La souffrance peut la stimuler, rarement l'épanouir.

Partout et toujours, cherche sans te lasser le remède qui soulage, sème l'espoir : ça vivifie et ton amour peut faire des miracles.

L'amour, la seule obsession que tout le monde désire.

L'amour est une conversation... L'amour c'est lorsqu'on ne parle qu'à l'autre. Et lorsque l'autre ne parle qu'à toi.

L'amour sans la pudeur, c'est quoi ? Est-ce que c'est boire de tous les vins et dans la même coupe. Ou bien boire du même vin mais chacun dans sa coupe.

L'amour est cette ombre parfumée qui ne vous quitte jamais. Vivre ce lien comme si l'autre était l'ombre vivante de soi et soi l'ombre vivante de l'autre.

La philosophie et l'amour se réservent des combats dans des sphères invisibles. Mais la guerre et le sexe sont un seul corps à corps.

Comme les vendanges, les amours tardives sont les plus délicieuses.

21 mai 2005

lisé svp hitoire dune amie

mon pére était alcoolique, il buvait à quantité affolante, il avait les yeux rouge, il
tremblait, il ne savait jamais se qu'il faisait, et je le sais, ne se souviens
plus de rien, il a tout oublier car l'alcool l'a à moitié tué. Il a commencé à
lever la main sur moi à mes quatre ans. Il passait des journées entière
penché sur moi, il ricanait, il frappait, frappait jusqu'à ce que le sang coule. Il
est allé jusqu'à me plaqué la tête sur le barbecue. Il venait le soir, tard,
il me jetait au sol, me ruait de coups, il m'insultait, me traitait de tout,
souvent il me redressait en m'agrippant par les cheveux, il me balançait
d'avant en arrière, faisant percuter ma tête au mur, il continuait jusqu'à se que je
m'évanouisse à ses pieds. J'étais l'enfant martyr de la famille, la seule à
subir coups et humiliations, il passait ses nerfs sur moi, j'étais son
instrument de défoulement.

Le mur de ma chambre est imprégné de mon sang, le béton fissuré au sol aussi,
ma mère parfois m'y collait le nez, elle ne me lâchait pas jusqu'à se que les
larmes coulent et aille se mélangé au sang sec. Mon père lorsque je parlait
m'enfonçait des échardes sous mes petits ongles, lorsque je le regardait il
attrapait le fouet et frappait mon dos et mes jambes jusqu'au sang, lorsque je
faisait du bruit il arrivait avec ses cigarettes et me brûlait, à la moindre
bêtise, il arrivait comme un ours sur moi encore dans l'enfance et innocente, il
me tabassait contre les murs, me ruait de coup de pieds, il rigolait, il
rigolait au éclat.

A 6ans, j'ai décidé de ne plus jamais pleurer, cela ne fis qu'aggravé la
chose, il restait face à moi me claquait, il me pinçait, il marachait la peau avec
un cutter, et me demandait sans cesse " pourquoi ne pleures tu pas , espèce
de foutue garce ?! " Je restait silencieuse face à lui, je fixait ses yeux
injectés de sang, ses mains tremblaient et au final c'est lui qui finissait en
larmes, et là il devenait pire que cruel, il montait sur moi, me donnait des
coups de poing dans l'estomac, il m'étranglait, il enfonçait ses ongles dans ma
peau pâle, il m'introduisait des chiffons dans la bouche, je vomissait dessus,
je m'étouffait dans mon vomi, impossible de crier, de pleurer, j'étais devenu
pantin, je m'évanouissait écrasée sous son poids. Je ne mangeait que rarement,
environ 6 fois par semaine (vous mangez 21 fois!) et encore se n'étais pas de
la nouriture mais des croquettes pour chien...

Il continua ainsi jusqu'à mes 9ans, on déménagea, tout redevenait " normal ".
A mes 11ans j'ai perdu mon frère qui en avait 12, cela m'a perturbé
énormément. Je n'ai pu aller à l'enterrement, mes parents m'avait enfermé dans un
placard, le noir qui y raignait m'apeuré malgrés mes 11ans, j'ai passé l'après idi
la dedans pleurant seule, recrovillée sur moi même, pensant au tombeau où mon
frère reposait. Les coups recommencèrent, mais moins violant que jadis.

Puis à 12ans je perdais ma s½ur aînée, de 22ans, elle se suicida, prenant le
volant sous l'emprise de l'alcool. Il ne resta plus que ma deuxième s½ur, qui
a 18ans aujourd'hui et moi même. Les coups cessèrent rapidement.

Durant mes années de collège j'ai été tête de turc, bête de cirque pleine de
graisse, objet de défoulment, subissant les coups des camardes et leur
insultes (comme si je n'en avis pas eu assez vaec 5ans d'enfer!), du à mon surpoids,
je devins alors anorexique. Mon père est décédé il y a peu, je n'ai pu versé
aucunes larmes, mais pourtant je n'étais pas heureuse, il est décédé d'un
cancer des os, et des poumons. Je fus la seule personne à lui rendre visite à
l'hôpital, j'ai vu son état se dégradé. Deux jours avant son décès il m'a dit " je
t'aime ".

Bêtement j'au du remord, pour ce père qui me torturait jadis. Ma mère m'a
avoué il y a peu de temps, qu'il buvait car il était atteint d'une maladie
irréductible et génétique. Je sais depuis peu que je suis héritière de cette
maladie, et que je n'ai que 2 chance sur 5 d'atteindre 20ans.
La souffrance, une fois ancrée dans le corps, ne peut plus s'évader ; elle
s'endort quelquefois, épuisé par sa propre puissance, mais elle ne meurt jamais.
Et la mienne est plus vivante que je ne suis. J'ai appris à maudire ce dieu
qui nous tourmente en seigneur, jour et nuit, et ne nous laisse que quelques
miettes de bonheur.

Je fait semblant de ne pas penser à cela. Je vais en aveugle en plein c½ur de
la fête des hommes parce que je sais qu'il n'y a rien d'autre à faire. Je
vais et grappille les joies qui se présente à moi. J'ai il y a peu, 6 mois, pris
l'initiative de ne plus parler. Je vis par la pensée et l'écriture. Aucun n'ai
sorti de ma bouche depuis 6 mois, je refuse de parler car cela ne fait
qu'aggravé ma situation. Si je parle on va encore m'envoyer chez un psychologue, et
je ne veux pas. Il ne servent à rien. J'ai 15ans depuis seulement 1mois. J'ai
grandit sans enfance et je vais mourir sans vieillesse. J'ai jamais senti la
chaleur du corps de ma mère contre la mienne, j'ai jamais reçu de baiser sur
mon front, je n'ai connu que les larmes les coups, les cris, la souffrance.

Peu de gens se doute de se que j'ai enduré, . On dit que les gens qui se
suicide sont des lâches, qu'ils n'ont pas eu le courage de se battre. mais si ces
gens là avait le poids que nous avons enfouit tout au fond de leur crâne et de
leur c½ur peut-être que eux aussi ne serait pas resté sur terre. Tout
simplement parce que la terre est horrible et la vie complètement stupide, on ne nous
à jamais laissez le chois de venir sur la terre ou pas on nous l'inflige, on
nous inflige la souffrance et il nous est interdit de refuser. Les gens on
honte, parfois, d'avouer qu'ils ont des idées suicidaire, il le garde en eux et
un jour il passe à l'acte. Ils ont honte pourquoi ? sûrement parce que c'est
mal de vouloir mettre fin à ses jours avant l'heure fatal, oui c'est sûrement
ça. Dans tout les cas, je souhaite à toutes personne vivant (ou survivant) avec
le coeur bléssé à cause d'une personne qui détruit (ou a détruit) leur
enfance, d'un décé, d'une maladie, d'un viol, des conditions dans lesquelles elle vit
ou tout autres choses de se construire un but pour le quel elle se battra, et
vivra, pour le quel elle continura même en pleure et qui lui donne l'envie
d'avancé, même la tête baissée.
cette histoire est vraie et cette personne regarde régulierement se blog alor laissé lui dé message de soutien sil vou plé..
merci beaucoup..
18 mai 2005

DE JOSEPHINE POUR L'HOMME DE SA VIE

Pour Thomas
Je sais bien, tu me le répètes assez souvent, que tu n'es pas parfait. Aussi bien physiquement que moralement. Mais je veux que tu saches ceci. Tout d'abord, je n'ai jamais été à la recherche d'un top model et je me moque que tes muscles ne soient pas dessinés comme ceux d'une statue grecque. Je me moque que ton visage ne soit pas celui d'une vedette de cinéma. Car tu me plais comme tu es, tout simplement, tu es pour moi l'homme le plus charmant qui soit au monde. C'est vrai aussi que tu n'as pas toujours bon caractère, que tu t'emportes quelquefois. Mais depuis que je te connais, je sais combien tu as fait des efforts pour être plus disponible, prévenant, attentionné. J'ai envie là aussi de te prendre comme tu es, avec tes quelques défauts, mais surtout avec tes nombreuses qualités. Peut-être qu'avant moi, aucune femme n'avait réussi à te rendre comme tu es aujourd'hui. Je suis très fière d'avoir accompli tout cela et je me sens aimée en retour, pour moi, c'est le principal. Surtout, reste toi-même, continue à m'aimer comme tu le fais si bien. Je sais que nous irons loin.

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